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Le site Ski Track http://www.skitrack.fr/ représente sur différent fond de carte (IGN, google, ...) les sommets référencés dans skitour, C2C.
Ski Track présente, une info intéressante pour les randonneurs hivernaux, les pentes supérieures à 30° ; pentes à partir de lesquelles la neige peut être mise en mouvement et se transformer en avalanche.
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Merci Thierry, je ne connaissais pas.
C'est la version Ski de VTTrack : un agrégateur des traces VTT.
Ça a été assez discuté au départ (sur http://www.utagawavtt.com/) parce que le site exploite les données des autres, mais en final, ça renvoi vers les sites d'origines ...
Par rapport au VTT les sorties ski sont encore faiblement enregistrées au GPS.
Coté pentes, il serait super que l'on puisse ajouter à la pente l'orientation et l'altitude : couplé avec le bulletin nivo ça serait pas mal du tout pour marquer les zones dangereuses !
La paroi déjà verticale se redressait encore ... G. Livanos
Quand on meurt, c'est pour la vie... Jean-Michel Cambon
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Pour l'orientation de la pente et l'altitude, il faut lire la carte.
Lecture que j'arrive encore à faire par contre distinguer l'espace entre les courbes de niveau pour estimer l'angle de la pente, mes yeux ont ont perdu en performance
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Pour l'orientation de la pente et l'altitude, il faut lire la carte.
Lecture que j'arrive encore à faire par contre distinguer l'espace entre les courbes de niveau pour estimer l'angle de la pente, mes yeux ont ont perdu en performance
Mmmouais, si tu vas par là les pentes raides on les voit à l’œil aussi (l'avalanche non plus n'est pas à 1 degré près).
D'ailleurs vu la faible résolution de la carte des pentes, elle recoupe celle ... des reliefs à l'exception des crêtes et des fonds de vallons (chose facile à voir sur une carte).
Avec une sélection plus fine (pente et/ou altitude et/ou orientation et/ou critères de parcours), on verrait en un coup d’œil les traces GPS qui :
- font moins de 1500m de D+,
- sont situées dans une zone avec suffisamment de neige (altitude mini selon le versant nord et sud),
- ne coupent pas une zone dangereuse (pente+orientation).
Parce que c'est bien l'objet de cet type d'outils que d’accéder rapidement à une information que l'on affine ensuite en allant sur le site dédiés (Skitour, Camptocamp) et surtout en analysant la carte finement.
Je vois d'ailleurs qu'il y a un filtre mais il correspond encore au portage de celui de VTTrack consacré aux parcours seuls (il m'a pas l'air de bien marcher).
Idéalement les données nivologiques devraient être une fourniture de météo-france+IGN (on peut rêver ...) avec une couleur par niveau de risque (1,2,3,4,5) sur le fond de carte. On pourrait d'ailleurs imaginer une pondération du risque locale fondée sur l'expérience : ça me semble facilement réalisable mais peut-être trop clair en cette période de déresponsabilisation générale (si c'est pour avoir un niveau 3 "parapluie" comme niveau minimum lorsqu’il y a de la neige) ....
Dernière modification par eric b (29-12-2014 20:31:16)
La paroi déjà verticale se redressait encore ... G. Livanos
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Pour ma part cette représentation me convient parfaitement pour préparer des sorties à l'échelle macroscopique. En un coup d’œil rapide il est possible de sélectionner une zone sympathique lorsque le risque d'avalanche est important. (Je n'utilise volontairement pas les chiffres qui n'apporte pas grand chose comme info. Et d'aller voir ensuite d'un peu plus près sur une carte au 1/25 000.
Coté trace GPS, ce n'est pas indispensable, il faut savoir sortir des classiques qui sont certes magnifiques, mais il reste des p'tits trésors magnifiques sans un skieur même dans des zones fréquentées. Je te l'accorde parfois, c'est la louse, mais ça met un peu de piment dans l'activité. Le monde où tout est programmé à l'avance est un monde terne.
Coté niveau de risque avalanche, le chiffre est la partie la moins intéressante, c'est le texte qui suit qui apporte beaucoup plus d'information, et le risque 4 et 5 n'interdit pas de sortir en montagne. Sauf pour les journalistes parisiens qui ont une interprétation très basiques des chiffres. Il faut juste adapter un itinéraire en fonction des conditions nivologiques indiquées dans le BRA.
Sinon coté outils en cours de développement, l'ANENA développe un système d'information géographique (SIG) qui à pour but de cartographier les accidents d'avalanches.
Les emprises des avalanches seront représentés sur des fonds de cartes 1/25 000.
Pour ton dernier point, le BRA est réalisé à l’échelle macroscopique, il est difficilement imaginable d'avoir des cartes de toutes les couleurs en fonction des risques d'avalanches.
C'est au skieur de faire ça propre opinion. La vie avec risque 0 qui repose sur des personnes ou organisations tiers c'est de l'utopie. Et comment interpréter une pente de niveau 1, 2, 3, 4 ..
Et en voyant la pagaye qui as eu sur les routes alpines ce week end, je me demande le bien fondé de créer de tel carte que peu de personne prenne en considération. Autant dépenser des pépètes dans d'autres domaines.
Sinon pour ce dimanche, la météo devrait tenir, par contre adieux la poudre, du redoux est annoncé, on fera peut être moins de touche cailloux.
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Coté niveau de risque avalanche, le chiffre est la partie la moins intéressante, c'est le texte qui suit qui apporte beaucoup plus d'information, et le risque 4 et 5 n'interdit pas de sortir en montagne. Sauf pour les journalistes parisiens qui ont une interprétation très basiques des chiffres. Il faut juste adapter un itinéraire en fonction des conditions nivologiques indiquées dans le BRA.
Heu Thierry, je ne vois pas trop la contradiction avec mes propos : les informations additionnelles du BRA c'est l'orientation, l'altitude ... : choses que l'on peut justement projeter sur le fond de carte et ainsi pondérer localement le risque et non plus avoir un risque global que je trouve également un peu idiot.
A mon avis ce n'est pas tant une question de cout (on reste dans de l’agrégation d'information, une mise en forme n'est pas très couteuse avec les API : un développement de 6mois x2 personnes ) que de responsabilité (dire sur une zone que le risque est faible peut conduire à une mise en cause en cas de problème) quand ce n'est pas de propriété intellectuelle (fonds de cartes, base de donnée altimétrique, base de donnée statistique ...).
Après chacun est libre d'utiliser ou non ces données .
Sinon j'ai vu les chaines infos hier (BFM, i-télé), c'était à mourir de rire sur le risque d'avalanche : pour eux le danger était également sur les pistes ...
Il devrait il y avoir un permis de journalisme à points : après 10 co...ies, on n'aurait plus le droit d'exercer sans refaire une mise à niveau ...
Sinon pour ce dimanche, la météo devrait tenir, par contre adieux la poudre, du redoux est annoncé, on fera peut être moins de touche cailloux.
Méteociel est un peu plus pessimiste mais bon, ça devrait passer et comme ça commence à faire long sans ski, on skiera sous les nages ...
La paroi déjà verticale se redressait encore ... G. Livanos
Quand on meurt, c'est pour la vie... Jean-Michel Cambon
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moi je trouve l'idéee bonne de marquer les pentes > 30 ° C , ça ne te met pas forcement a l'abri car les skieurs peuvent aussi se faire ensevelir par une pente venant du dessus meme si tu passes dans une zone plate et la l'ensevelissement peut etre tres profond !
c'est donc à nous d'analyser l’itinéraire dans son ensemble sur les risques d'expo du parcours .
Malgré tout entre ce qu'on voit sur la carte et sur le terrain y'a souvent une marge , les cartes ne sont pas d'une precision absolue
Je trouve aussi l'idee de l'ANENA de repertorier les lieux avec des avalanches importantes et les rendre facilement accessible est bonne .
Sinon concernant les journalistes , hélas ils n'y connaissent rien c'est bien des parisiens ! j'entendais sur BFM que la période de froid allait stabiliser la neige ....c'est tout le contraire
skieur avant tout
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